Automates cellulaires peuvent illustrer/modèler comment structures complexes pourraient émerger au moyen de règles simples, alors que vous jamais pourriez détecter dans la règle qu'ils génèrent
grande régularité, formes chaotiques ou complexes. Les automates peuvent être simples, mais aussi définis très complexement
« L'automate cellulaire (CA court) le plus simple se compose d'une lignée de cellules, chaque couleur noir ou blanc. A chaque étape il y a une règle définie qui détermine la couleur
d'une cellule donnée de la couleur de la cellule précédente et ses voisins immédiats de gauche et de droite sur la ligne avant." (A New Kind of Science par Stephen Wolfram, 2002, page 26)
Automates plus complexes peuvent être créées en agrandissant le quartier, avec plusieurs dimensions ou par un plus grand nombre de couleurs. Couleurs servent simplement à visualiser. Chiffres ou
symboles, n'importe quel, marqueur des conditions distinctes pourraient être appliquées.
Dans le cas le plus simple une cellule avec un voisin de gauche et un voisin de droit et deux couleurs il y existent 2³ = 8 quartiers différents . Une règle attribue à chaque cas la couleur de la
nouvelle cellule, donc il y sont 2(puissance 8) = 256 règles.
Règle Nr.0 attribue à chaque cas blanc et génère un tableau complètement blanc, Regel Nr. 155 assigne à chaque cas noir et génère un tableau complètement noir. Comment différent est plutôt le résultat de la règle Nr.30 :
Du point de vue esthétique ces automates de base sont de peu d'intérêt pour moi. Pour ma peinture j'ai choisi un CA à une dimension avec un voisin à gauche et à droit et 14 couleurs. 14 couleurs, car la nouvelle peinture est liée à ma peinture Nr. 131 « Gradient Gaussian » 2006. Dans cette peinture, la couleur de chaque case a été déterminée au hasard sous réserve d'une distribution de probabilité, déjà conçue par moi. Pour cette peinture j'ai choisi les même 14 couleurs mais cette fois la couleur de chaque case est déterminée par la regle. Le choix de la règle était donc la décision principale artistique.
Le problème est l'énorme quantité de règles, Le CA, qui j'ai conçu n'a pas seulement 256 règles vous pourriez vérifier un par un. Il y a d'abord 14³ = 2744 cas comment 14 couleurs peuvent être
regroupées en 3-n-tuplets produisant à partir de cela 14 puissance(14³) règles. Un nombre aussi grand que de remplir une feuille de format A4 entière.
La plus grande règle possible livrerait une gamme complète de noire
Règle Nr. 0 la même en blanc comme dans un simple CA. Entre les deux extrèmes se trouve un désert à rechercher et la plupart de ce que j'ai vu était monotone, je n'avais aucun programme pour
m'aider ici. J'ai cherché en sautant des milliards des règles pour obtenir un petit échantillon aléatoire. De là, j'ai finalement choisi ma règle.
La représentation de l'automate va en général ligne par ligne de haut en bas, mais pour pouvoir observer une évolution prolongée de l'automate je l'ai tourné de 90° donc il se développe colonne
par colonne de gauche à droite.
Notre langue est incapable de décrire exactement les millons
des couleurs représentables et perceptibles. Par contraste la théorie de couleur scientifique attribue à toutes les teintes de la couleur un nombre triple, définissant une place dans l'espace de couleur selon leurs caractéristiques fondamentales : luminosité, teinte, intensité.
Le concept de CIELab espace de couleur a été fixé 1976 de la CIE, Commission Internationale d'Éclairage, fondée en 1903.
Les trois tableaux montrent un certain choix de couleurs des domaines rouge, vert et bleu. De chaque domaine, j'ai pris 5 teintes pure, et de chacune il y a 3 de plus en plus lumineux,trois de plus en plus sombres, 1 gris moyen, 3 gris de plus en plus lumineux et 3 gris de plus en plus sombres.
(Abb. FH Köln)